Soeurs de la Croix

Les questions d’avenir

Soeurs de la Croix

Rester au cœur du monde un témoignage de vie et d’espérance.

Chaque homme reste qui il est jusqu’au bout de sa vie. Une sœur de la Croix reste sœur de la Croix.

De ce fait, où qu’elle soit, quoi qu’elle fasse, sa mission n’est jamais terminée. Elle continuera de s’ancrer en Jésus-Christ, le regard tourné vers la personne vulnérable. Elle continuera de se prononcer pour la vie et de témoigner de l’espérance. Rester des passionnées, c’est donner un visage à l’Evangile.

Le développement des activités mises en place au Cameroun. Vers une autonomie de gestion et financière.

Les activités mises en place au Cameroun ont été dès le début tournées vers les laissés pour compte, afin de leur porter secours et améliorer leurs conditions de vie. La notion de solidarité sociale était liée à la notion d’assistance adaptée aux besoins. Aujourd’hui, d’autres activités se basent sur un développement durable et économique et sur une recherche de ressources qui vise l’autonomie financière des communautés religieuses.

Dans une démarche pédagogique et progressive, nous avançons pas à pas pour la pérennité de l’œuvre.

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La création d’un projet d’implantation en République Démocratique du Congo.

Après 13 années de présence au Congo, le moment est venu d’envisager une implantation propre de la congrégation. Le projet s’oriente autour de deux grands secteurs : le pôle « Education » avec une école maternelle et ultérieurement une école primaire, le pôle agro-alimentaire et éco- tourisme développant le maraîchage et l’élevage, ouvert à l’apprentissage, la formation et l’insertion professionnelle de jeunes.

Ce grand projet est en cours d’étude au niveau de l’ensemble des sœurs en Afrique, en lien avec des sites universitaires et différents partenaires.

Un avenir à Kribi.

En 2019, la Congrégation a ouvert une communauté à Kribi, ville portuaire dans l’Ouest du Cameroun. Les Sœurs travaillent au service du diocèse dans le milieu scolaire et sanitaire.

Après 5 années, nous nous posons la question d’une œuvre propre à la Congrégation dans cette région du Cameroun où une grande partie de la population est dépourvue de moyens.

Notre réflexion tend vers la création d’une école maternelle et primaire ouverte à des enfants en difficultés et handicapés. Ce projet est à l’état de la conception.

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