Soeurs de la Croix

Nous avons célébré ensemble la fête du 2 février, fête de la présentation de Jésus au Temple, fête spéciale pour nous car c’est le jour de la fondation de notre Congrégation.

le 2 février 1848 Mère Adèle s’est engagée en prononçant ses premiers vœux, avec ses deux sœurs Augustine et Octavie et cinq autres jeunes filles qui ont fait profession avec elle ce jour-là :

Thérèse BOURGOIN :              Sr Thérèse   
Caroline MOLL :                      Sr Caroline
Marguerite DAGORN  :            Sr Marguerite
Marianne SCHMITTBERG :       Sr Marianne
Louise WELTZ :                      Sr Louise

 A l’époque, c’était certes un grand jour de fête que nous rappelons depuis chaque année.

Cette année, il est teinté par les informations des médias qui nous parlent et nous reparlent du COVID 19 et ses variants, des vaccins, des répercussions médico-sociales, économiques, morales, psychologiques et spirituelles qu’entraine cette pandémie. Elles nous font apercevoir les difficultés d’un gouvernement qui essaie de prendre des décisions efficaces n’aggravant pas la situation.

Et nous pouvons nous poser la question de l’attitude à laquelle sont appelé(e)s les religieux(ses). Nous sommes solidaires des hommes et des femmes qui ont peur et qui désirent un lendemain meilleur.

Le pape François nous dit : « Tous fragiles et désorientés, mais en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter mutuellement. Nous pouvons nous rejoindre dans une espérance commune: comment rendre ce monde plus humain si ce n’est pas par l’amour donné ? Comment revenir à l’essentiel, c’est-à-dire au sens de notre vie terrestre, éphémère par nature? Dans la vie nous sommes toujours en chemin. Choisissons le chemin de Dieu ! Nous découvrirons qu’il n’est pas d’imprévu, ni de montée, ni de nuit qui ne puisse être affrontée avec Jésus.»

Pour le Pape François, il s’agit de tirer de la crise de la Covid 19 quelque chose de neuf, de «revoir et modifier nos rôles, nos habitudes afin d’en sortir meilleurs» et permettre «le seul changement possible, celui qui ne naîtra que de la compassion et du service».  

Soyons un chemin d’espérance les unes pour les autres, lisons les Écritures pour que celles-ci “nous lisent”.

Bonne Fête à chacune et chacun d’entre nous.

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